8 décembre 2009
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15:48
- Je rentre en France dans moins de 15 jours.
- Il me reste 9 jours de boulot.
- Projet 1 est fini, publié, et ses ramifications possibles sont gelées jusqu'à nouvel ordre.
- Projet 2 est bouclé expérimentalement, un draft complet a été écrit, on attend les retours de mon boss qui ne sont pas prêts d'arriver, entre ses proposals, ses voyages, ses meetings, ses teachings, et sa femme enceinte.
Les ramifications de projet 2 sont à l'état suivant:
- On sait que projet 2 bis marche, il faut "juste" faire les manipes et écrire le papier, ce qui peut aller vite mais soyons raisonnables, pas en 9 jours. Comme de toute façon je ne serai pas first author, je ne vais pas non plus me défoncer (désolé, l''amour de la science', ça va quand on a un boulot).
- Projet 2 ter est au stade exploratoire, avec des résultats curieux et potentiellement intéressants et exploitables. Là encore, il va pas se passer grand chose en 9 jours, et ce sont des choses que je pourrai éventuellement faire en France, l'équipement nécessaire étant on ne peut plus standard.
- L'ingénieur brevet vient "regarder" nos manipes concernant l''invention disclosure' une demi-heure la semaine prochaine.
- Toujours pas de nouvelles concernant l'audition de janvier.
- Pas de nouvelles non plus du groupe avec qui j'envisageais de candidater au CNRS.
- Pas de nouvelles non plus pour un post-doc en région parisienne début 2010.
Il y a quelques semaines, le "rien" dans tout cela me stressait beaucoup.
Maintenant que j'ai admis que le papier concernant projet 2 ne serait pas soumis (et donc encore moins accepté) d'ici la fin de l'année, et que rien concernant mon avenir ne se décantera avant janvier au bas mot, je suis plus zen. Ou blasé, selon. En gros, j'attends les vacances de Noël pour me goinfrer, picoler, et passer quelques jours les couilles dans la vaseline avec la famille. Il sera bien temps de stresser à nouveau après le Nouvel An.
Par contre, vu que la fin de séjour coïncide presque parfaitement avec la "fin" des projets scientifiques que j'ai menés ici, les journées ne passent pas bien vite. Préparer vaguement un dossier de candidature, des slides pour une présentation, retoucher des figures ou des paragraphes d'article, actualiser son CV etc, ça n'occupe que partiellement son homme, surtout quand la motivation n'est pas franchement au rendez-vous.
- Il me reste 9 jours de boulot.
- Projet 1 est fini, publié, et ses ramifications possibles sont gelées jusqu'à nouvel ordre.
- Projet 2 est bouclé expérimentalement, un draft complet a été écrit, on attend les retours de mon boss qui ne sont pas prêts d'arriver, entre ses proposals, ses voyages, ses meetings, ses teachings, et sa femme enceinte.
Les ramifications de projet 2 sont à l'état suivant:
- On sait que projet 2 bis marche, il faut "juste" faire les manipes et écrire le papier, ce qui peut aller vite mais soyons raisonnables, pas en 9 jours. Comme de toute façon je ne serai pas first author, je ne vais pas non plus me défoncer (désolé, l''amour de la science', ça va quand on a un boulot).
- Projet 2 ter est au stade exploratoire, avec des résultats curieux et potentiellement intéressants et exploitables. Là encore, il va pas se passer grand chose en 9 jours, et ce sont des choses que je pourrai éventuellement faire en France, l'équipement nécessaire étant on ne peut plus standard.
- L'ingénieur brevet vient "regarder" nos manipes concernant l''invention disclosure' une demi-heure la semaine prochaine.
- Toujours pas de nouvelles concernant l'audition de janvier.
- Pas de nouvelles non plus du groupe avec qui j'envisageais de candidater au CNRS.
- Pas de nouvelles non plus pour un post-doc en région parisienne début 2010.
Il y a quelques semaines, le "rien" dans tout cela me stressait beaucoup.
Maintenant que j'ai admis que le papier concernant projet 2 ne serait pas soumis (et donc encore moins accepté) d'ici la fin de l'année, et que rien concernant mon avenir ne se décantera avant janvier au bas mot, je suis plus zen. Ou blasé, selon. En gros, j'attends les vacances de Noël pour me goinfrer, picoler, et passer quelques jours les couilles dans la vaseline avec la famille. Il sera bien temps de stresser à nouveau après le Nouvel An.
Par contre, vu que la fin de séjour coïncide presque parfaitement avec la "fin" des projets scientifiques que j'ai menés ici, les journées ne passent pas bien vite. Préparer vaguement un dossier de candidature, des slides pour une présentation, retoucher des figures ou des paragraphes d'article, actualiser son CV etc, ça n'occupe que partiellement son homme, surtout quand la motivation n'est pas franchement au rendez-vous.