A partir de ce soir, coupure d'une dizaine de jours pour aller voir la famille dans le Sud.
Vu l'activité au labo en ce moment (permanents tous en vacances, ainsi que tous les thésards et mes contacts industriels, couloirs pas allumés, poubelles pas vidées, portes fermées à clef...), je pense que ça ve me faire du bien. Depuis quelques jours, dire que ça passe lentement est un euphémisme.
Si je n'ai rien de mieux à faire sur la Côte et que l'"inspiration" est là, je posterai, mais en attendant et au cas où, je vous laisse avec un petit problème dans le genre de celui sur le prix du café aux US:
1.Sachant qu'en période de vacances, il n'y a, le matin, qu'un RER tous les quarts d'heure se dirigeant vers le plateau et sa grande fac dessus.
2. Sachant qu'en cette même période il y a, le matin également, une navette toutes les quinze minutes qui dessert la grande fac.
3. Sachant que l'arrêt de bus est situé à 100 mètres (en descente) de l'arrêt de RER avec une bonne visibilité (e.g. si le bus est déjà à l'arrêt et prêt à vous filer sous le nez, vous le voyez).
Sachant tout cela, comment donc expliquer que presque tous les matins, on attende plus de 900 secondes la correspondance?
Indices:
- Le panneau de l'arrêt de bus censé indiquer le nombre de minutes avant l'arrivée du RER n'a jamais fonctionné en six mois.
- Le coordinateur présent pendant l'année, qui ne sert pas à grand chose malgré son talkie-walkie de compétition ("oui le bus arrive", "non, prenez pas celui-là, l'autre va arriver", "bon finalement, il arrive pas, prenez celui-là", "ah non, redescendez, ça y est il arrive"), est lui aussi en vacances.
- Il n'y a pas sur les bus, comme aux US, de numéro de téléphone affiché en gros qui encouragent l'usager à dénoncer un chauffeur indélicat.