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  • : La vie au labo
  • : Les pensées - j'ose le mot- diverses d'un jeune scientifique ayant obtenu un poste académique à l'Université, après presque trois années en post-doctorat dont deux au fin fond du Massachusetts. Ca parle de science (un peu) mais surtout du "petit monde" de la science. Et aussi, entre autres, de bouffe, de littérature, de musique, d'actualité, etc. Et de ma vie, pas moins intéressante que celle d'un autre.
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17 mai 2010 1 17 /05 /mai /2010 10:36

J'apprends aujourd'hui, via le Monde (qui l'eut cru), la mort de Ronnie James Dio, d'un fuckin' cancer, à 67 piges.

 

Ronnie James Dio est sans conteste l'un des plus grands chanteurs de heavy metal. Difficile d'imaginer qu'une voix si puissante pouvait sortir de ce corps de nabot. Du heavy 200 bpm au gros riff qui tâche de Iommi en passant par les ballades du sieur Blackmore, il pouvait tout chanter, excellemment.

 

Il a connu une grande carrière, dans Rainbow, dans Black Sabbath (remplaçant Ozzy Osbourne), et en solo avec Dio.

 

Il fut l'un des premiers à développer des thèmes "donjons et dragons" dans ses textes. Maintenant, un groupe métal qui fait des chansons parlant de sorciers, de nains, de dragons, et de guerriers avec leurs épées, c'est cliché. Dans les années 70, c'était nouveau.

 

Inconnu du grand public, de visage et de nom, sa voix ne sera pas totalement oubliée puisqu'il est celui qui chante le fameux "Love is All", prouvant qu'un chanteur de métal n'est pas forcément qu'un brailleur guttural. 

 

 

 

 

Il est aussi celui qui a popularisé dans l'imagerie métal le signe du diable. A la base signe superstitieux des mamas italiennes, il fut le premier à l'utiliser comme gimmick sur scène.
Cela s'est étendu ensuite à son public, puis de fil en aiguille dans tous les concerts métal, et maintenant dans tous les concerts tout court (de Sinsemilia à Pascal Obispo...).
Ciao l'artiste, je regrette de ne pas avoir été voir Heaven and Hell à Boston il y a six mois.

 

 

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