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  • : La vie au labo
  • : Les pensées - j'ose le mot- diverses d'un jeune scientifique ayant obtenu un poste académique à l'Université, après presque trois années en post-doctorat dont deux au fin fond du Massachusetts. Ca parle de science (un peu) mais surtout du "petit monde" de la science. Et aussi, entre autres, de bouffe, de littérature, de musique, d'actualité, etc. Et de ma vie, pas moins intéressante que celle d'un autre.
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  • Misanthrope optionnellement misogyne et Esprit Universel.

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20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 16:53

Il est temps de créer une nouvelle catégorie sur ce blog, intitulée "je pige pas".

 

Il y a plein de choses que je ne pige pas, mais je me focaliserai surtout sur celles où je peux faire preuve d'énormément de mauvaise foi et écouler un peu de misanthropie comme soupape de sécurité de ma santé mentale.

 

Aujourd'hui, je ne pige pas pourquoi ceux qui puent vraiment de la gueule:

- n'arrêtent pas de parler.

- et tiennent absolument à te parler à 10 cms des narines au point que si tu fais un pas en arrière, ils font un pas en avant. 

 

Je ne parle pas de ceux qui puent de la gueule une fois de temps en temps, parce qu'ils n'ont pas assez dormi, ont mangé un aïoli, ou ont trop picolé la veille, je parle de ceux qui puent de la gueule au point qu'en dix minutes tu as mal au crâne comme si tu étais resté toute la journée enfermé dans une pièce de 2m2 non aérée.

Ceux dont on se demande comment ils peuvent encore ignorer à 50 piges que leur haleine pourrait servir d'alternative aux boules puantes.

 

L'archétype du mec à la bouche moisie était mon prof de physique de prépa, qui ne préférait rien que nous expliquer les montages électroniques en long en large et en travers en gros plan comme s'il allait nous rouler une pelle.

 

Il y a peu, j'en ai rencontré un largement en dessous de ce niveau, mais a jeun ça écoeure vite, et le face-à-face avant de bouffer n'en finissait pas...

 

Alors, comment expliquer ce lien de cause à effet, cette propension à ne jamais s'arrêter de parler et cette quasi-volonté de s'assurer que tu ne peux pas fuir ou au moins t'éloigner à peine?

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commentaires

P
<br /> A tout hasard :<br /> <br /> http://www.juritravail.com/Actualite/vol-drogue-alcool-au-travail/Id/13466 <br />
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M
<br /> <br /> Bon, un employé on ne peut pas... un collègue peut-être? (en l'occurrence ds mon cas ce n'était ni l'un ni l'autre).<br /> <br /> <br /> Aux US où ils n'ont pas comme nous la réputation d'être un peuple dégueulasse, les choses semblent plus "ouvertes" et un pb suffisamment fréquent pr qu'on forme les RH à s'en occuper...<br /> http://www.legalworkplace.com/employees-poor-hygiene-elt.aspx<br /> <br /> <br /> <br />
G
<br /> Tu leur as dit qu'ils puaient de la gueule ?<br />
Répondre
M
<br /> <br /> Hélas on ne peut pas toujours (prof de prépa: difficile, relation de boulot pas toujours facile non plus), mais arrivé à un certain âge on pourrait espérer qu'ils sont au courant...<br /> comme disait je ne sais plus quel comique (J. Commandeur je crois), "quand les mecs s'évanouissent dès que tu leur parles, c'est pas que ton charisme...".<br /> <br /> <br /> <br />
P
<br /> Dans le même genre il y a aussi ceux qui n'ont pas vraiment intégré le comcept de douche quotidienne et d'hygiène en général. Ceux-là aussi tiennent à être collants. Je ne sais pas comment ils<br /> font pour supporter ça. Si j'ai le moindre doute je m'en vais me savonner de la tête aux pieds, même plutôt 2 fois qu'une. Je trouve que c'est vraiment le minimum de respect envers les gens que<br /> l'on cotoie.<br />
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M
<br /> <br /> J'ai une théorie qui est que quand tu commences à être gêné par ta propre odeur (un jour où tu as oublié de mettre du déo par exemple), ça fait plusieurs heures que les autres trouvent déjà que<br /> tu pues... ceci est bien évidemment pour ceux qui ont une hygiène habituellement correcte: j'imagine qu'au bout d'un moment tu développes une grande résistance à ta propre odeur. <br /> <br /> <br /> <br />